merci a toi pour se jolie cadeau je l'adore

    partis trois:

    Cette étè là nous sommes allez en colonie pour

 la première foi.J'étais à la bresse...

 Un soir une fille du groupe me traita de putain 

 devant toute les autre filles et dit tu crois que je 

 te reconnaît pas ,lorsque tu allait derrière chez

 toi.

 Elle me d'écris l'endroit ou mon oncle avait

 abusé de moi.Elle avait tous vus j'avait honte.

 La seule chose que je voulait c'était de rentrer

 chez moi, malgré cet incident mes parents ne sùr

 rien.

     Les abus durèrent toute l'année qui suivis.

     l année suivante mes parents voulurent 

 nous remêtre en colonie, je ne voulait pas y aller

 mais mes parents m'y envoyèrent quand même

 en me dissant que sa serait pas pareille car

 c'etais un autre endroits.

 Jallais en colonie as Saint-Jean-De-Mont.

  la preinière semaine tous se passa bien ,mais au

 fond de moi j'avait peur et honte que quelqu'un

 le sache.

 mais un matin je me réveillas avec plein de sang

 partout et des douleur atroce dans le ventre que

 m'arrivait t'il?Jétait affolée j'avait peur je croyait

 que j'allait mourir et me vider de tous mon sang.

 Les autres filles se moquèrent de moi et me 

 dirent <<t'inquiète pas c'est tes règle >>

 <<c'est koi sa>> elle rigolérent encor plus.

 Les moniteurs dire qu'il m'expliquerais il ne le

 firent jamais.

 Toute cette période de mes prenières règle les 

 moniteurs me mirent a part des autres, je me 

 trouvait ridicule et ne comprenait rien a se qu'il 

 m'arrivait.

 Lorsque je rentras chez moi je dit a mes parents

 que j'avait mes règle ils rigolèrent et ne me

 crurent pas.Ce fut quand je les eu pour la

 seconde foi qu'il me crurent.Ils ne n'expliquèrent

 pourquoi cela m'arrivait, ce n'ai que trois ans

 plus tard que je le su.

    Mais depuis se jour là n'y mon oncle n'y mon

 grand père n'y mon grand frère n'y le copain de

 mon père n'abusèrent de moi.

 La dernière annèe de primaire fus difficile car

 j'avais un strabisme qu'il fallait opèrer et les

 goûtes que l'on me mêttais me plongeais dans le

 noir et je manquais souvent les cours se qui

 m'isolas encor plus,après l'opération je restas

 quinze jour à l'hopital et lorsque je sortis je ne

 pouvait pas aller dehors car mes yeux ne devais

 pas être en contacte avec de la luniére forte.

 Je passa toute cette été là enfermeé.

 Malgré tous ses problémes je fut adnis en

 sixième.

 Les preniers jours après cette rentée ne furent

 pas évidant, mais un fille m'abordant sur le coup

 je la reconnus pas: c'étais Françoise une joie

 inmense m'envahis d'un seule coût je me sentais

 plus seule.J'avais quelqu'un avec qui parler et

 qui me guiderais un peut.

 Ma profeseur principal se rendis très vite

 compte que j'avait des problèmes.

 Elle m'aida beaucoup en me mêttant près de la

 fenêttre pour que je vois mieux.

    Elle me dit que si j'avait des problémes où si je

 voulais lui parler de quoi que se sois elle serais

 là.Je lui dit pas pour les violes mais lui parlas de

 mon probleme rencontrer a la coloniea propos

 des régles.

 Elle décidas d'aborder le problème en

 court, lorsque les autres filles se moquèrent de

 moi car je ne savait pas elle leur expliqua que

 certains parents en parlais pas il trouvait sa

 honteux.Durant cette anée scolaire je fit

 beaucoup d'éffort mes il n'éttais pas

 récompaensés.

     A la maison les journées étaient remplies de

 beaucoup de travail.Mais défois nous nous

 détendions le soir en allant jouer des partis de

 foot sur un terrain avec papa, nous revenions

 fatigués mais comptant d'avoir passés un bon

 moment avec notre père et nos camarades.

 Papa disait qu'il avait les pattes coupées et plein 

 de bleu c'est vrais que bien souvent au lieu de

 tapper dans le ballon nous tappions dans les

 chevilles, mais il était comptent c'est a ses rare moment qu'on le voyais sourire.

    Il faut dire que a cette période là il ne buvait

 plud dù tout.En hiver c'étais des batailles de

 boules de neige qui prenais place.A cette période

 la nous allions aussi voir les matchs de foot au

 stade a Epinal quelque-fois nous fessions le

 trajet a pied, nous prenions mon oncle invalide

 avec nous et nous passions une soirée agréable,

 mais ma mère venais jamais et sa nous rendais

 un peut triste de la laiser seule.Je ne sais pas

 pourquoi elle venais pas car mon père insistaits pour qu'elle vienne mais c'étais toujours non.

     Le seule moment ou maman venais avec nous

 c'est quand nous allions a la pêche, nous

 passions la journée dehors.Pour y aller on se

 levait a cinq heures du matin et mon père

 partais rechercher les plus petits et ma mére

 pour le repas et un pique nic au bord de l'eau.

 mon père pêchais les poisons qu'il voulait.

 Il me disait un petit ou un gros et celons se

 qu'on lui dissait il changeais son appât et

 quelque minutes après son poison étais là.

 Je me souvient que l'on ramenais beaucoup de

 poisons et ont en donnaient a nos voisin car ont

 en avaient de troppour nous.

     lorsque nous étions à la pêche c'ettais encor

 moi qui n'occupais de mon oncle.

     Lorsque mon petit frère Jean Marc est née en

 1975 ma mère étant beaucoup malade c'est moi

 qui m'occupait de la maison de mes fèrres et de

 faire a manger pour tous le mon ainsi que du

 bébé Jean-Marc. Cela fessait beaucoup pour une

 enfants de onze ans.Lorsque maman allas

 beaucoup mieux se fut toujours moi qui

 m'ocupais de Jean-Marc.

 voila sa derniere viideo comme promis pour un 

 moment de tendresse et de bonheur en se debut 

 de soirée

 celle-ci a été fait a l'occasion de la saint valentin

 bonne visio et bonne soirée a vous

            AIMER....

    Ce n'est pas de grandes déclarations
 Ce sont des petites choses simples et sans 

 raison ..
 C'est à dire :
 Veux tu un café ?
 Est tu fatigué ?
 Est ce que je peux faire quelque chose pour toi ?

 C'est un coup de téléphone,c'est une lettre,
 C'est une petite surprise,
 C'est une invitation du coeur,
 C'est aller prendre une marche ensemble...

 C'est faire des choses pour l'autre, sans 

 raison ,sans calcul

 C'est accueillir l'autre tel qu'il est,
 L'écouter avec son coeur,
 Ne pas le presser...

 C'est aussi regarder l'autre avec les yeux du 

 coeur,et les yeux de l'âme.
 La parole peut mentir, mais le regard ne ment  

 pas ...

  Aimer,
 C'est simplement être là, non seulement

avec  

 son corps mais aussi avec son âme...

 C'est dire :" Je t'aime "
 Pourquoi faut -il attendre après la mort de 

 quelqu"un pour lui dire qu'on l'aimait...

      Aimer
 C'est  de ne pas juger , de ne pas critiquer, de ne

 pas condamner

 C'est être capable de dire  :
 "Si j'avais été à ta place,je n'aurais pas fait

 mieux "

 C'est pouvoir aussi dire sans envie  :
 "C'est beau ce que tu as fait "

     Aimer
 C'est aussi simple que cela
 Ce n'est pas compliqué..

 Mais si l'amour ne nous habite pas,
 Il nous manque tout dans la vie....

 Quand quelqu'un a le privilège d'aimer et d'être

 aimé,
 La vie est extraordinaire.

 Cette chaleur qui rayonne,
 cette lumière dans l'âme et dans les yeux...

 C'est ça l'AMOUR
 Aimer les amis , la famille
 enfin de  tout le monde....