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Titre du blog : un amour eternel
Auteur : vivrenotreamour
Date de création : 10-04-2008
 
posté le 17-07-2008 à 19:16:06

hans christian Andersen

 

   Hans Christian Andersen:

            1807,1875

 

 

Ecrivain danois, qui, grâce à ses Contes pour enfants, incarna le génie populaire nordique.

Hans Christian Andersen naquit à Odense le 2avril 1805, au sein d'une famille pauvre et démunie. Il perdit son père à onze ans, et partit seul à quatorze ans chercher fortune à Copenhague. Il fut tenté par le chant, le théâtre puis la danse et travailla quelque temps pour le directeur du Théâtre Royal, qui finança plus tard ses études.

Dès 1822, Andersen commença à publier ses premiers textes, et c'est avec un récit fantastique inspiré par E.T.A.Hoffmann, Promenade du canal de Holmen à la pointe orientale d'Amagre (1830), qu'il connut son premier succès. Par la suite, il écrivit d'autres romans souvent autobiographiques et d'inspiration romantique comme l'Improvisateur (1835), Rien qu'un violoneux (1837) ou Etre ou ne pas être (1857), mais aussi des Poèmes, des pièces de théâtre (Amour sur la tour saint-Nicolai) et des récits de voyage tels que Bazar d'un poète (1842) et Visite au Portugal (1866). On lui doit en outre plusieurs autobiographies, une correspondance volumineuse et un imposant Journal.

Entre 1832 et 1842, il publia en brochures ses premiers courts récits merveilleux, Contes pour enfants (1835), qu'il ne destinait d'ailleurs pas seulement à un public enfantin. Le succès immédiat l'encouragea à poursuivre et à publier chaque année d'autres textes, Nouveaux Contes (1843-1848) et Nouveaux Contes et histoires (1858-1872). Il écrivit au total plus de cent cinquante contes, imprégnés de romantisme et associant le merveilleux et l'ironie.

Loin d'imiter ses prédécesseurs dans le genre du conte (Perrault, Galland et Hoffmann, les frères Grimm), Andersen, dont le style est remarquable par l'utilisation habile et équilibrée du langage courant, des idiomes et des expressions populaires, sut admirablement exprimer, dans une langue très simple, les émotions les plus subtiles et les idées les plus fines, passant sans difficulté de la poésie à l'ironie, de la farce au tragique.

Ses contes mettent en scène aussi bien des rois et des reines réels et légendaires que des animaux, des plantes, des créatures magiques (sirènes et fées) et même des objets.

Parmi ses contes, les plus célèbres restent "le Vilain Petit Canard", "la Reine des neiges", "les Habits neufs de l'empereur" et "la Petite Sirène". Il mourut à Copenhague le 4 août 1875. Ses histoires, traduites en plus de quatre-vingts langues, connurent un succès durable et inspirèrent des écrivains, des metteurs en scène, des réalisateurs, des chorégraphes, des sculpteurs et des peintres. 

voici un prenier texte:
 
LA PETITE FILLE AU ALLUNETTES

 

 

 

Il faisait effroyablement froid; il neigeait depuis le matin; il faisait déjà sombre; le soir approchait, le soir du dernier jour de l'année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue: elle n'avait rien sur la tête, elle était pieds nus. Lorsqu'elle était sortie de chez elle le matin, elle avait eu de vieilles pantoufles beaucoup trop grandes pour elle. Aussi les perdit-elle lorsqu'elle eut à se sauver devant une file de voitures; les voitures passées, elle chercha après ses chaussures; un méchant gamin s'enfuyait emportant en riant l'une des pantoufles; l'autre avait été entièrement écrasée.

 

 

 

Voila la malheureuse enfant n'ayant plus rien pour abriter ses pauvres petits petons.Dans son vieux tablier,elle portais des allumettes:elle en tenait à la main un paquet.Mais,ce jour,la veille du nouvel an,tout le mone était affairé;par cet affreux temps,personne ne s'arrêtait pour considérer l'air supliant de la petit qui faisait pitié.La journée fimissait, et elle m'avait pas encore vendu un seul paquet d'allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se trainait de rue en rue

des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde.De toues les fenêtre brillaient des lumiéres:de presque toutes les maisons sortait une délicieuse odeur,celle de l'oie,qu'on rôtissait pour le festin du soir:c'était la saint sylvestre.Cela oui,cela lui faisiat arrêter ses pas errants.

 

 

 

Enfin aprés avoir une derniére fois offert en vain son paquet d'allumettes,l'enfant aperçois une ancoignure entre deux maisons,dont l'une dépassait un peu l'autre.Hrassée, elle s'y assied et s'y blottit, tirant à elle ses petit pieds:maiselle grelotte et frissonneencore plus quavant et cependant elle n'ose rentrer chez elle. Elle n'y rapporterait pasla plus petite monnaie et son pére la battrait.

 

 

Lenfant avait ses petites menottes toutes transies."Si je prenais une allumette, se dit-elle,une seule pour réchauffer mes doigts?" C'est se qu'elle fit.quelle flamme merveilleuse c'était!Il sembla tout à coup à la petite fille qu'elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d'ornements en cuivre.La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s'éteingnit brusquement: le poêle disparut,l'enfant restais là,tenant en main un petit morceau de bois à moitié brulé

 

 

 

Elle frotta une seconde allumette: la lueur se projetait sur la muraille qui devint transparente.

Derriére, la table était mise:elle était couverte d'une belle nappe blanche,sur laquelle brillait une superbe vaisselle de porcelaine.Au milieu,sétalait une magnifique oie rotie, entourée de compote de pommes:et voilà que la bête se met en mouvement et avec un couteau et une fourchette

fixé dans sa poitrine,vient se présenter devant la pauvre petite.Et puis plus rien la flamme s'éteint.

 

 

 

L'enfant prend une trioisieme allumette, et elle se voit transportée prés d'un arbre de noel,spendide.

Sur ces branche verte, brillait mille bougies de couleurs:de tous cotés, pendait une foule de merveilles.La petite étendit la mian pour saisir la moin belle:l'allumette séteint. L'arbre semble monter vers le ciel et ses bougie deviennent des étoile; ily en a qui se détache et qui redescend vers la terre laissant une trainée de feu.

 

 

 

" voila quelqu'un va mourir" se dit la petite. Sa vieille grand-mére,le seul être qui l'avait aimée et cherie,et qui était morte il y avait pas longtemps, Elle frotta encore une allumette: une grande clarté se répandit et,devant l'enfant,se tenait la vieille grand mére.

Grand mére,s'écria la petite, grand mére,enmméne-moi.Oh u vas me quitter quand l'allunette seras éteinte: tu t'évanouiras comme le poêle si chaud,le superbe roti d'oie, le spendide arbre de noel. Reste,je t'en pris ou emporte moi

 

 

 

Et l'enfant alluma une nouvelle allunette, et puis une autre et enfin tout le paquet, pour voir la bonne grand mére le plus lontemps possible.La grand mére prit la petite dans ses bras et elle la porta bien haut ,en un lieu où il n'y avait plus ni de froid ni de faim, ni de chagrin: c'était devant le trone de Dieu.

Le lendemain matin, cependant, les passants trouvérent dans l'encoignure le corp de la petite; ses joues étaient rouge, elle semblait sourire; elle était morte de froid, pendant la nuit qui avait apporté à tant d'autre des joies et des plaisirs.Elle tenais dans sa petite main, toute raide ,les restes brulés d'un paquet d'allunettes.

Quelle sôttise!dit un sans-coeur.Cmment a-t'elle pu croire que cela  la réchaufferait?

d'autre versérent des larmes sur l'enfant; c'est qu'ils ne savaient pas toutes les belles choses qu'elle avait vues pendant la nuit du nouvel an , c'est qu'ils ignoraient que ,si elle avait bien souffert,elle goutait maintenant dans les bras de sa grand mére la plus douce félicité.

 

 

Commentaires

jean claude le 17-07-2008 à 22:50:04
un bonjour de mon passage

merci d' etre passé sur mon blog, et pour le p'tit com.c' est super sympa.

exusez-moi pour mes retards dans les coms

raison de sante un mal de dos térrible


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garou-val le 17-07-2008 à 22:25:27
bonsoir patricia,

je passe te faire un gros bisous

avant d'aller mer coucher dernier jour demain.

Tu sais l'histoire de la petite fille au allumette j'en avais entendu parler

mais j'avais jamais lu l'histoire.

Je la trouve très jolie. Grace à toi je la connais maintenant.

Je te fais d'énorme bisous et passe une bonne nuit. A bientot.

Je ne t'oublie pas.


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Edenlove le 17-07-2008 à 20:59:12
kikou.; et merci de ton gentil com... ça fait toujours plaisir... je te retourne le compliment..ton blog est magnifique, et j'adore les contes pour enfant, sont plein de féeries ...et j'ais gardé dans le coeur un peu de mon enfance .. te souhaite une douce soirée... bisous et a bientot

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MAYOKE le 17-07-2008 à 20:46:53
Bonsoir, quel blog magnifique tu as, je l'ai parcouru un peu. Il est non seulement intéressant mais fort bien présenté. Belle soirée. Bisous
CHEVALIERDACIER le 17-07-2008 à 20:09:12
merci de ton passe chez chevalierdacier

sa va j'ai pas a me pleindre de mon blog il marche tres bien j'ai beaucoup de monde qui vien du cite au je suis c normal ces un peux qui mon poucer a refaire un blog je te souhaite une bonne soiree
zac51000 le 17-07-2008 à 20:03:17
je te souhaite une bonne soiree et une bonne nuit bisous