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Titre du blog : un amour eternel
Auteur : vivrenotreamour
Date de création : 10-04-2008
 
posté le 11-09-2008 à 16:41:49

le 11 septembre 2001

 

 je tenais par cette article à rendre homage aux personnes victimes de ses atentas et à toutes les familles qui ont perdu un être chers en particulier mon amis éva qui as perdu sa mére sa fille et son marie  lors de  l'attentas des deux tour jumelle courage à vous tous ont vous oublis pas

 

 


Attentat Deux avions percutent les tours jumelles de Manhattan qui s’effondrent.
Des milliers de morts et des scènes de panique jamais vues.

Les USA frappés au coeur

Le World Trade Center, le Pentagone, le département d’État… Les principaux
 symboles de la puissance américaine ont subi hier une série d’attentats sans précédent.
 Plusieurs avions de lignes détournés ont causé les dégâts les plus importants.
 L’Amérique et le reste du monde sont sous le choc.

Il est 9 h 57 hier matin à New York. Presque 16 heures en France.
En plein cour de Manhattan un avion frappe de plein fouet l’une des tours du World Trade
 Center. L’impact crée dans le haut de la façade un trou énorme.
Le Boeing 767 de la compagnie American Airlines venait de Boston. Le choc semble
faire chanceler la structure du building new-yorkais. À cette heure-ci dans la mégalopole
 américaine des dizaines de milliers de personnes sortent des bouches du métro pour
rejoindre leur travail. Les bureaux du centre des affaires accueillent leurs employés.
 Les deux tours jumelles du centre-ville qui sont l’image de l’Amérique moderne et
 le symbole de la puissance américaine abritent ainsi quotidiennement quelque
 40 000 personnes, au cour du quartier des affaires. La secousse, terrible,
 qui vient de se produire alors n’est pourtant que le début d’une catastrophe majeure.
Dix-huit minutes seulement plus tard, c’est un second appareil, de la compagnie
 United Airlines, cette fois, qui percute le second gratte-ciel. Le sommet
 des deux tours est dès lors environné par une épaisse fumée noire d’où s’échappent
 des flammes gigantesques. Si la première explosion a surpris et sidéré les new-yorkais
 sans leur laisser vraiment le temps de comprendre et de réagir, la seconde va provoquer
 un vent de panique et d’effroi. Il y avait déjà l’inflation du vacarme et des sirènes ;
les courses désordonnées et éperdues, en bas, sur les trottoirs, mais surtout, maintenant,
 il y a les images du second appareil à l’instant où il s’encastre dans la tour sud.
 Elles sont diffusées en direct sur les chaînes américaines qui avaient dépêché sur
les lieux leurs équipes pour filmer les conséquences de la première explosion.
Elles propulsent l’horreur à la face du pays le plus puissant de la planète et répercutent, partout, l’ampleur de la catastrophe.

Des témoins disent avoir alors aperçu des gens penchés par les baies vitrées,
agitant des mouchoirs, cherchant désespérément une aide qui ne viendra jamais.
Dérisoires tentatives de survie quand tout va s’écrouler.

Les secours vont pourtant très vite. Un premier bilan rapide, trop rapide,
 est même avancé. Trente minutes après les faits les autorités annoncent six morts
 et un millier de blessés. Mais la succession des événements va empêcher toute mesure
fiable, toute réaction cohérente. New York vient de rentrer dans une spirale infernale.

Nous sommes quarante-quatre minutes seulement après l’impact du premier avion.
Depuis Tarasota, en Floride où il visite un centre scolaire, le président
 George W. Bush fait alors sur les écrans une intervention courte mais claire.
 Une minute d’intervention suivie de plusieurs secondes de silence en hommage
et en respect pour les morts forcément nombreux qu’il faudra dénombrer plus tard.
Son phrasé direct parle d’abord de " tragédie nationale " et de moment " difficile
 pour l’Amérique " devant les attentats qui viennent d’avoir lieu. Puis il menace
 fermement : " Le terrorisme ne passera pas. "

L’affirmation présidentielle est une nouvelle onde de choc. Instantanément elle se traduit
 par une série de mesures d’urgences. La Maison-Blanche est évacuée, ainsi que
le département d’État (le ministère des Affaires étrangères). Le Pentagone
(le ministère de la Défense) est également concerné par la mesure alors qu’au même
 instant on apprend que deux explosions viennent de s’y produire. " C’est une bombe ",
 déclare un porte-parole qui fait état de six blessés alors que la panique s’étend
et qu’une nouvelle décision tombe : la FAA (Federal Administration of Aviation),
 l’autorité régulatrice de l’aviation civile annule tous les vols commerciaux aux
 Òtats-Unis.

Il y a alors une heure et quelques minutes que le 767 a touché la première tour.
Elle s’effondre entièrement après avoir explosé dans un immense nuage de poussière.
 Vingt-trois minutes plus tard la seconde tour s’écroule. Le centre de New York,
 toujours sous l’oil des caméras, semble disparaître sous la fumée et la poussière,
 tel un château de cartes. Des milliers de tonnes de débris se répandent dans les rues.
 Des milliers de personnes disparaissent englouties par le nuage et les décombres.

À Washington aussi la panique s’empare de la ville. Alors qu’une voiture piégée explose
devant le département d’État, un nouvel avion de ligne, de la compagnie American Airlines
 s’effondre sur le bâtiment abritant l’équivalent du ministère de la Défense. Cet avion
 aurait d’abord heurté un hélicoptère et un camion de pompiers avant de s’écraser contre
l’édifice entouré de curieux, attirés par la fumée des premières explosions.

Alors que les États-Unis sont en état de choc, ce sont de véritables scènes de panique
 et d’horreur qui ont pour théâtre New York, après l’effondrement des deux tours jumelles.
 Le maire de Big Apple, Rudolf Giuliani, qui a déménagé son état-major et reconnu qu’il
n’avait reçu " aucun avertissement ", demande à la population de garder son calme et
 d’évacuer le sud de l’île de Manhattan. Même Wall Street ferme, après quelques hésitations.
 Un nuage de poussière dense étouffe la mégalopole. Des tonnes de débris, de béton,
 de métal se sont effondrées sur le quartier d’affaires de New York. Notamment sur
les équipes de secours qui tentaient peu de temps auparavant d’éteindre les incendies
qui s’étaient déclarés dans les tours jumelles.

Mais la peur vient encore du ciel : un Boeing B757, de la compagnie United Airlines
assurant la liaison Newark-San Francisco, s’écrase près de Pittsburgh, dans l’ouest
de la Pennsylvanie. La compagnie est d’ailleurs " préoccupée " par le sort d’un deuxième
 appareil, un Boeing 767, qui se rendait de Boston à Los Angeles. Cet aéroport est
 immédiatement fermé par mesure de sécurité. United Airlines annonce la disparition
 d’un autre appareil. Les radars ne savent plus où donner de la tête. Tout un chacun
cherche ses ouailles : l’administration fédérale de l’aviation (FAA) affirme avoir "
perdu le contrôle d’un ou plusieurs avions ". American Airlines, de son côté,
annonce la perte de deux avions transportant un total de 156 personnes.
Combien d’avions se sont écrasés ? Trois, quatre ? On ne sait pas :
dans le maelström d’événements, les informations contradictoires se succèdent.

On parle d’un nouveau Pearl-Harbor, les États-Unis sont en état de siège.
Le trafic ferroviaire est suspendu dans le nord-est du pays entre Washington
et Boston. Le FBI est sur les dents, la garde nationale est appelée en renfort.
Des tireurs d’élites sont postés sur les toits des bâtiments officiels tandis
que les secours s’activent dans une atmosphère électrique, sirènes hurlantes, panique,
 les hélicoptères survolant sans cesse la capitale, les gens se réfugiant dans
les bouches de métro, des badauds s’agglutinant autour des bâtiments sinistrés,
aussitôt dispersés sans ménagement par des forces de l’ordre passablement échaudés.
 Partout dans le pays, la population se rassemble autour des postes de télévision
 pour suivre les derniers événements, cherchant à comprendre. Peine perdue.
 George W. Bush y va d’un discours quasi guerrier. Mais appelle aussi ses compatriotes
 à prier… On parle de plus de 15 000 victimes.

Jacques Cortie et

Sébastien Homerphoto1

 

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Au fond des ténèbres,
Je me souviens.
Un sourire perdure
Comme rien ne dure.

Un image, a peine effacée,
Un souvenir, a peine oublié,
Qui disparaît, dans les brumes
De mon esprit au clair de lune.

Ce souvenir qui s'efface,
Jusqu'à ne plus laisser de trace,
Puis l'on oublie et continue la vie.

Eva by allan

 

 

 

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Passe le monde et coulent les heures

Vole l'espoir en quête éternelle de bonheur

Les minutes s'ègrenent, les secondes se meurent

Mais le temps avance sans haine et sans peur.

Souffle de vie dans un univers infini

Maitre incontestable qui nous mène à la folie

Nul ne l'arrète dans sa course à l'oubli

Le passé n'est plus, le présent s'échappe et le futur le suit

“Avoir le temps”, “laisser faire le temps”, “prendre son temps”

Combien d'âmes ont cru en sa clémence innocemment

Et l'ont laissé passer sans le braver réellement

Etonnées ensuite de se voir dire : “il n'est plus temps”!!

Rien ne servira alors de le pleurer ou l'implorer

Il chemine inexorablement sans daigner se retourner

Il fallait le saisir, l'apprivoiser et surtout le guider

Mais il est déjà trop tard, le temps s'en est allé….

Eva by allan

 


Dans la vie

Il faut savoir pardonné

Oublié le passé

Et allé de l'avant

Eva by allan

*******

PRIEZ

MAGNIFICAT

MON AME EXALTE LE SEIGNEUR
(Luc 1, 46-55)

Mon âme exalte le Seigneur,
Exulte mon esprit en Dieu mon Sauveur.

Il s'est penché sur son humble servante,
Désormais tous les âges me diront bienheureuse.

Le Puissant fit pour moi des merveilles,
Saint est son nom.

Son amour s'étend d'âge en âge,
Sur ceux qui le craignent.

Déployant la force de son bras,
Il disperse les superbes.

Il renverse les puissants de leur trône,
Il élève les humbles.

Il comble de biens les affamés,
Renvoie les riches les mains vides.

Il relève Israël son serviteur,
Il se souvient de son amour.

De la promesse faite à nos pères,
En faveur d'Abraham et de sa race à jamais.

Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit,
Pour les siècles des siècles.

Amen.
 
cette bougie resteras allumer en homage au victimes

 

homage au vitime:cliquer sur le lien si desous

 

Commentaires

newsev le 12-09-2008 à 09:01:07
coucou je passe te remercier pour tess coms. & ta fidèlité ...

je te souhaite un bon vendredi & un excellent week end

NewSev
ptk49 le 12-09-2008 à 08:35:39
Un hommage bien émouvant, auquel je me joint de tout cœur !


Amitiés,

PtK
revesetpassions le 12-09-2008 à 06:38:55
bonjour, je suis bien matinale ce matin... lol

alors je passe, sans faire de bruit, te souhaiter une belle journée

un bel hommage ... on ne peut pas oublier

bisous

Patou


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Virusbleu le 12-09-2008 à 06:37:45
Je crois que personne n'oubliera jamais!!!

Paix à leurs âmes ..


Hebergeur d'images
uneileunevie le 12-09-2008 à 06:13:41
eh oui,et ca peut arrivé n importe ou..


j espère que tu vas bien..

je te souhaite de passer une tres bonne journée et je t envoies des gros bisous
clairedelune le 11-09-2008 à 22:23:47
Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuitet gros bisoussssss de petite fée.


PS : très bel hommage aux victimes des attentats, bravo!!!!!!!
audeladecettevie le 11-09-2008 à 21:29:18
bonsoir c sûr que ce triste évènement ne ne s'effacera jamais des mémoires et encore plus des famillles survivantes!!!pensées à toutes!!

kissous doux chati
feline le 11-09-2008 à 19:54:25
kikou! voila ça y est, j'ai choisi un chaton, je l'aurai dans 15 jours! Bonne soirée ma belle Gros bisous, je me dépêche j'ai encore plein de coucous à faire et pas eu le temps!!!

J'ai vu un film sur ça hier à la télé! je n'ai jamais oublié les images réelles que l'on a vécu en direct, ça reste marqué dans ma mémoire!
perdita le 11-09-2008 à 19:29:15
coucou bonne journée a+.

Marie.
madisonbloggarden le 11-09-2008 à 18:33:03
oui j y ai pensé aujourd'hui c'est tellement abominable ce qui s'est passé...

merci pour l'article merci pour eux

bonne soirée

bon courage et bon vendredi !

bisous

Madison