je tenais par cette article à rendre homage aux personnes victimes de ses atentas et à toutes les familles qui ont perdu un être chers en particulier mon amis éva qui as perdu sa mére sa fille et son marie lors de l'attentas des deux tour jumelle courage à vous tous ont vous oublis pas
Attentat Deux avions percutent les tours jumelles de Manhattan qui s’effondrent.
Des milliers de morts et des scènes de panique jamais vues.
Les USA frappés au coeur
Le World Trade Center, le Pentagone, le département d’État… Les principaux
symboles de la puissance américaine ont subi hier une série d’attentats sans précédent.
Plusieurs avions de lignes détournés ont causé les dégâts les plus importants.
L’Amérique et le reste du monde sont sous le choc.
Il est 9 h 57 hier matin à New York. Presque 16 heures en France.
En plein cour de Manhattan un avion frappe de plein fouet l’une des tours du World Trade
Center. L’impact crée dans le haut de la façade un trou énorme.
Le Boeing 767 de la compagnie American Airlines venait de Boston. Le choc semble
faire chanceler la structure du building new-yorkais. À cette heure-ci dans la mégalopole
américaine des dizaines de milliers de personnes sortent des bouches du métro pour
rejoindre leur travail. Les bureaux du centre des affaires accueillent leurs employés.
Les deux tours jumelles du centre-ville qui sont l’image de l’Amérique moderne et
le symbole de la puissance américaine abritent ainsi quotidiennement quelque
40 000 personnes, au cour du quartier des affaires. La secousse, terrible,
qui vient de se produire alors n’est pourtant que le début d’une catastrophe majeure.
Dix-huit minutes seulement plus tard, c’est un second appareil, de la compagnie
United Airlines, cette fois, qui percute le second gratte-ciel. Le sommet
des deux tours est dès lors environné par une épaisse fumée noire d’où s’échappent
des flammes gigantesques. Si la première explosion a surpris et sidéré les new-yorkais
sans leur laisser vraiment le temps de comprendre et de réagir, la seconde va provoquer
un vent de panique et d’effroi. Il y avait déjà l’inflation du vacarme et des sirènes ;
les courses désordonnées et éperdues, en bas, sur les trottoirs, mais surtout, maintenant,
il y a les images du second appareil à l’instant où il s’encastre dans la tour sud.
Elles sont diffusées en direct sur les chaînes américaines qui avaient dépêché sur
les lieux leurs équipes pour filmer les conséquences de la première explosion.
Elles propulsent l’horreur à la face du pays le plus puissant de la planète et répercutent, partout, l’ampleur de la catastrophe.
Des témoins disent avoir alors aperçu des gens penchés par les baies vitrées,
agitant des mouchoirs, cherchant désespérément une aide qui ne viendra jamais.
Dérisoires tentatives de survie quand tout va s’écrouler.
Les secours vont pourtant très vite. Un premier bilan rapide, trop rapide,
est même avancé. Trente minutes après les faits les autorités annoncent six morts
et un millier de blessés. Mais la succession des événements va empêcher toute mesure
fiable, toute réaction cohérente. New York vient de rentrer dans une spirale infernale.
Nous sommes quarante-quatre minutes seulement après l’impact du premier avion.
Depuis Tarasota, en Floride où il visite un centre scolaire, le président
George W. Bush fait alors sur les écrans une intervention courte mais claire.
Une minute d’intervention suivie de plusieurs secondes de silence en hommage
et en respect pour les morts forcément nombreux qu’il faudra dénombrer plus tard.
Son phrasé direct parle d’abord de " tragédie nationale " et de moment " difficile
pour l’Amérique " devant les attentats qui viennent d’avoir lieu. Puis il menace
fermement : " Le terrorisme ne passera pas. "
L’affirmation présidentielle est une nouvelle onde de choc. Instantanément elle se traduit
par une série de mesures d’urgences. La Maison-Blanche est évacuée, ainsi que
le département d’État (le ministère des Affaires étrangères). Le Pentagone
(le ministère de la Défense) est également concerné par la mesure alors qu’au même
instant on apprend que deux explosions viennent de s’y produire. " C’est une bombe ",
déclare un porte-parole qui fait état de six blessés alors que la panique s’étend
et qu’une nouvelle décision tombe : la FAA (Federal Administration of Aviation),
l’autorité régulatrice de l’aviation civile annule tous les vols commerciaux aux
Òtats-Unis.
Il y a alors une heure et quelques minutes que le 767 a touché la première tour.
Elle s’effondre entièrement après avoir explosé dans un immense nuage de poussière.
Vingt-trois minutes plus tard la seconde tour s’écroule. Le centre de New York,
toujours sous l’oil des caméras, semble disparaître sous la fumée et la poussière,
tel un château de cartes. Des milliers de tonnes de débris se répandent dans les rues.
Des milliers de personnes disparaissent englouties par le nuage et les décombres.
À Washington aussi la panique s’empare de la ville. Alors qu’une voiture piégée explose
devant le département d’État, un nouvel avion de ligne, de la compagnie American Airlines
s’effondre sur le bâtiment abritant l’équivalent du ministère de la Défense. Cet avion
aurait d’abord heurté un hélicoptère et un camion de pompiers avant de s’écraser contre
l’édifice entouré de curieux, attirés par la fumée des premières explosions.
Alors que les États-Unis sont en état de choc, ce sont de véritables scènes de panique
et d’horreur qui ont pour théâtre New York, après l’effondrement des deux tours jumelles.
Le maire de Big Apple, Rudolf Giuliani, qui a déménagé son état-major et reconnu qu’il
n’avait reçu " aucun avertissement ", demande à la population de garder son calme et
d’évacuer le sud de l’île de Manhattan. Même Wall Street ferme, après quelques hésitations.
Un nuage de poussière dense étouffe la mégalopole. Des tonnes de débris, de béton,
de métal se sont effondrées sur le quartier d’affaires de New York. Notamment sur
les équipes de secours qui tentaient peu de temps auparavant d’éteindre les incendies
qui s’étaient déclarés dans les tours jumelles.
Mais la peur vient encore du ciel : un Boeing B757, de la compagnie United Airlines
assurant la liaison Newark-San Francisco, s’écrase près de Pittsburgh, dans l’ouest
de la Pennsylvanie. La compagnie est d’ailleurs " préoccupée " par le sort d’un deuxième
appareil, un Boeing 767, qui se rendait de Boston à Los Angeles. Cet aéroport est
immédiatement fermé par mesure de sécurité. United Airlines annonce la disparition
d’un autre appareil. Les radars ne savent plus où donner de la tête. Tout un chacun
cherche ses ouailles : l’administration fédérale de l’aviation (FAA) affirme avoir "
perdu le contrôle d’un ou plusieurs avions ". American Airlines, de son côté,
annonce la perte de deux avions transportant un total de 156 personnes.
Combien d’avions se sont écrasés ? Trois, quatre ? On ne sait pas :
dans le maelström d’événements, les informations contradictoires se succèdent.
On parle d’un nouveau Pearl-Harbor, les États-Unis sont en état de siège.
Le trafic ferroviaire est suspendu dans le nord-est du pays entre Washington
et Boston. Le FBI est sur les dents, la garde nationale est appelée en renfort.
Des tireurs d’élites sont postés sur les toits des bâtiments officiels tandis
que les secours s’activent dans une atmosphère électrique, sirènes hurlantes, panique,
les hélicoptères survolant sans cesse la capitale, les gens se réfugiant dans
les bouches de métro, des badauds s’agglutinant autour des bâtiments sinistrés,
aussitôt dispersés sans ménagement par des forces de l’ordre passablement échaudés.
Partout dans le pays, la population se rassemble autour des postes de télévision
pour suivre les derniers événements, cherchant à comprendre. Peine perdue.
George W. Bush y va d’un discours quasi guerrier. Mais appelle aussi ses compatriotes
à prier… On parle de plus de 15 000 victimes.
Jacques Cortie et
Sébastien Homerphoto1
homage au vitime:cliquer sur le lien si desous
Commentaires
coucou je passe te remercier pour tess coms. & ta fidèlité ...
je te souhaite un bon vendredi & un excellent week end
NewSev
Un hommage bien émouvant, auquel je me joint de tout cœur !
Amitiés,
PtK
bonjour, je suis bien matinale ce matin... lol
alors je passe, sans faire de bruit, te souhaiter une belle journée
un bel hommage ... on ne peut pas oublier
bisous
Patou
Je crois que personne n'oubliera jamais!!!
Paix à leurs âmes ..
eh oui,et ca peut arrivé n importe ou..
j espère que tu vas bien..
je te souhaite de passer une tres bonne journée et je t envoies des gros bisous
et gros bisoussssss de petite fée.
PS : très bel hommage aux victimes des attentats, bravo!!!!!!!
bonsoir c sûr que ce triste évènement ne ne s'effacera jamais des mémoires et encore plus des famillles survivantes!!!pensées à toutes!!
kissous doux chati
kikou! voila ça y est, j'ai choisi un chaton, je l'aurai dans 15 jours! Bonne soirée ma belle Gros bisous, je me dépêche j'ai encore plein de coucous à faire et pas eu le temps!!!
J'ai vu un film sur ça hier à la télé! je n'ai jamais oublié les images réelles que l'on a vécu en direct, ça reste marqué dans ma mémoire!
coucou bonne journée a+.
Marie.
oui j y ai pensé aujourd'hui c'est tellement abominable ce qui s'est passé...
merci pour l'article merci pour eux
bonne soirée
bon courage et bon vendredi !
bisous
Madison