Au milieu coule une rivière,
Un glaçon qui se meurt,
Fond comme neige au soleil,
Sur ce corps brulant en éveil,
Il sait que c'est la fin et pleure.
Les larmes deviennent un lac
puis le lac déborde et s'étend
L'eau avance inexorablement,
Tel un cavalier cosaque.
Entre deux montagnes altières
L'eau poursuit son chemin,
s'engouffre entre ses seins,
Et creuse son lit dans la pierre.
Au milieu coule une rivière …
Laissez-moi y boire à satiété,
Que mes lèvres assoiffées
Sur vos rives se désaltèrent.
Ken.
Commentaires
c tres jolie poéme ton blog et tres jolie bonne continuation par la suite bizzz
super jolie aussi celui ci
bisous
bonjour patricia
je passe te souhaité une tres bonne journée,en espérant que tout ailles bien pour toi,et je t envoies des gros bisous..
Bonsoir mon amie !
Merci pour ton passage ce matin et cette jolie créa.
Encore un beau poème. Merci de nous faire rêver ainsi.
J'espère que tu as passer un bon week-end. Le mien à été superbe sur le net.
Douce nuit à toi.
Bisous,
Elfinn.