VEF Blog

Titre du blog : un amour eternel
Auteur : vivrenotreamour
Date de création : 10-04-2008
 
posté le 01-07-2010 à 17:59:38

Patrick Bruel:Elie

 Voici une deuxième chanson de l'album de Patrick Bruel :Elie

Cette chanson me fait panser a mon papa qui n'est plus. A cette homme si dure mais qui avais un cœur énorme.
Il nous a jamais dit je t'aime? il n'a jamais montré ses sentiment.
Mais aujourd'hui qu'il est plus. Je me rend conte que tous se qu'il fessais c'étais par amour.
Trop possessif bien dé foi avec moi.
Mais je garde en souvenir tous ses moment de délire toute cette complicité qui avec les année c'est installé entre nous deux.
Quand sa n'allais pas il me téléphonais ou venais me voir en cachette de maman et maman qui me téléphonais en me demandant ou il étais.l'un et l'autre non jamais rien su et j'arrangeais les choses comme je pouvais.

Combien cette main qui n'étais toujours tendu ses dernières année me manque,même s'il a fallut que j'ai 35 ans pour que cette complicité s'installe et toute ses souffrances avant que je comprend toujours pas.

Papa tu me manque tellement je t'oublierais jamais.

 

  Voila Papa lors d'une brocante.
Je peut vous dire qu'il y avais pas meilleur ambiance quand il participais à des brocantes même encore aujourd'hui on parle de lui de son humour et de sa simplicité mais trés dure en affaire.
 

Patrick Bruel
Album : Juste Avant
Genre : Variété française
Label : SMI

 Parole:

 

Il t'a regardé
Puis il m'a souri
Depuis si longtemps
Il n'avait rien dit

Y avait presque un siècle
Qui vous séparait
Le long de sa joue
Une larme coulait

Il t'a pris au bout de ses bras
Dans un éclat de rire
Toi, bébé, tu sa pris son doigt
Comme pour le retenir

Puis il t'a parlé
De cette vie passée

Il t'a raconté
La tienne qui commencait

Toutes tes colères
Toutes tes peines, tes joies
Tes plus belles guerres
Celles que l'on ne gagne pas

Et puis ses yeux se sont posés
Doucement sur chacun,
Et chacun de nous y lisait
Quelques mots pour demain

Vivre pour pouvoir revivre
C'est là ton seul devoir
Celui de dire pour rester libre,
Celui de ta mémoire

Ses yeux chantaient merci, merci,
J'ai plus peur de partir

Et puis vient Céline,
Celle qui aimait tant
Elle n'aimait que lui
Depuis soixante-deux ans

Il la regardait,
Pas besoin de mots,
Ses yeux lui disaient
Ne tarde pas trop...