merci de se cadeau et bon retour à toi
mon autre blog :
http://bibi6952.skyrock.com/
Toujours prêt à te faire rigoler
Quand tu pleures,il vient te consoler,
Tu lui parles de tes projets,il tient à
t'encourager.
Si tu as des ennuis, il viendras te sauver,
C'est un de s tres bon amis.
Des que tu le vois, tu souris.
Il ne souhaiterais jamais te perdre,
Il aime trop ta façon d'être.
Ce n'est pas pour rien que tu
l'aprécies tant.
Alors que tu ne le connais pas depuis
longtemps.
Je vous souhaite bien du bonheur dans cette
amitié.
Qui j'espere pourras toujours exister!
1. cinderella le 13-05-2008 à 15:01:00 (site)
coucou c'est vrai que l'amitié est très précieuse.
bonne journée
bise
2. SARKIA le 13-05-2008 à 15:24:57 (site)
KIKOU ME VOILA A BON PORT APRES 1 SEMAINE DE SUPERBE VACANCE VOUS M AVEZ MANQUEZ
JE VAIS TRES BIEN J ESPERE QUE TOI AUSSI ? JE SUIS UN PEU FATIGUEE DU VOYAGE ET DU DECALAGE D HEURE MERCI DE TA FIDELITEE A MON BLOG GROS BISOU BONNE APRES MIDI
3. stephanie1410 le 13-05-2008 à 15:39:43
kokou mon amie il vrai ton poeme j aime bien je te fait pleins de gros bisous
Poèmes choisis d’Alphonse de Lamartine
Mâcon 1790 - Paris 1869
Poète, écrivain, homme d' Etat. Empreint d'une éducation religieuse à Milly, il fit en 1811 un voyage en Italie. Il entra d'abord au service de Louis XVIII, puis représenta la France auprès du Grand Duc de Toscane. Au retour d'un voyage en Palestine, il perdit sa fille et devint l'apôtre d'un christianisme libéral et social qu'il représenta à la chambre des députés de 1833 à 1851.Ministre des affaires étrangères en février 1848, mais le Second Empire mit fin à sa carrière en 1851. Il s'abandonna désormais à ce qu'il appelait... les travaux forcés littéraires !
C'est un petit vallon... (A. Lamartine)
Mon coeur lassé de tout, même de l'espérance, N'ira plus de ses voeux importuner le sort ; Prêtez-moi seulement le vallon de mon enfance Un asile d'un jour pour attendre la mort. |
Voici l'étroit sentier de l'obscure vallée, Du flanc de ces coteaux pendent des bois épais Qui, courbant sur mon front leur ombre entremêlée , Me couvrent tout entier de silence et de paix. |
Là, deux ruisseaux cachés sous des ponts de verdure Tracent en serpentant les contours du vallon ; Ils mêlent un moment leur onde et leur murmure, Et non loin de leur source ils se perdent sans nom. |
La source de mes jours comme eux s'est écoulée Elle a passé sans bruit, sans nom et sans retour. Mais leur onde est limpide et mon âme est troublée N'aura pas réfléchi les clartés d'un beau jour. |
La fraîcheur de leurs lits, l'ombre qui les couronne, M'enchaînent tout le jour sur les bords des ruisseaux ; Comme un enfant bercé par un chant monotone, Mon âme s'assoupit au murmure des eaux. |
Ah! c'est là qu'entouré d'un rempart de verdure, D'un horizon borné qui suffit à mes yeux, J'aime à fixer mes pas et seul dans la nature, A n'entendre que l'onde, à ne voir que les cieux. |
Repose-toi, mon âme en ce dernier asile, Ainsi qu'un voyageur, qui le coeur plein d'espoir S'assied avant d'entrer aux portes de la ville Et respire un moment l'air embaumé du soir. |
Comme lui, de nos pieds secouons la poussière ; L'homme par ce chemin ne repasse jamais : Comme lui, respirons au bout de la carrière Ce calme avant-coureur de l'éternelle paix. |
Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime ; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours ; Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et même le soleil se lève sur tes jours. |
Suis le jour dans le ciel, suis l'ombre sur la terre, Dans les plaines de l'air, vole avec l'Aquilon, Avec les doux rayons de l'astre du mystère Glisse à travers les bois, dans l'ombre du vallon. |
Dieu pour le concevoir, a fait l'intelligence ; Sous la nature enfin découvre son auteur ! Une voix à l'esprit parle dans son silence, Qui n'a pas entendu cette voix dans son coeur ? |
. Le lac (Alphonse Lamartine)
Ainsi toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre d'un seul jour ? |
O Lac ! l'année à peine a fini sa carrière Et près des flots chéris qu'elle devait revoir Regarde je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! |
Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes, Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés, Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes Sur ses pieds adorés. |
Un soir t'en souvient-il ? nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux. |
Tout à coup des accents inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent les échos : Le flot attentif et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots : |
O temps ! suspends ton vol, et vous heures propices ! Suspendez votre cours : Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! |
Assez de malheureux ici-bas vous implorent, Coulez, coulez pour eux ; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent, Oubliez les heureux. |
Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m'échappe et fuit ; Je dis à cette nuit : sois plus lente et l'aurore Va dissiper la nuit |
" Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive, Hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ; Il coule, et nous passons ! " |
Temps jaloux, se peut' il que ces moments d'ivresse Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur, S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur ? |
Eternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous des jours que vous engloutissez ? Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes Que vous nous ravissez ? |
O lac ! rochers muets ! grottes ! forêts obscures ! Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez belle nature, Au moins le souvenir ! |
Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise : Ils ont aimé ! |
(méditations poétiques)
1. Je sais sur la colline Une blanche maison, Un rocher la domine Un buisson d'aubépine Est tout son horizon | 2. Là, jamais ne s'élève Bruit qui fasse penser Jusqu'à ce qu'il s'achève On peut mener son rêve Et le recommencer |
3. Le clocher du village Surmonte ce séjour Sa voix comme un hommage Monte au premier nuage Que clore le jour ! | 4. Aux sons que l'écho roule Le long des églantiers, Vous voyez l'humble foule Qui serpente et s'écoule Dans les pieux sentiers : |
5. C'est la pauvre orpheline Pour qui le jour est court, Qui déroule et termine Pendant qu'elle chemine Son fuseau déjà lourd ; | 6. C'est l'aveugle que guide Le mur accoutumé Le mendiant timide Et dont la main dévide Son rosaire enfumé : |
7. C'est l'enfant qui caresse En passant chaque fleur ; Le vieillard qui se presse L'enfance et la vieillesse Sont amis du Seigneur ! | 8. Ou quelque pauvre veuve Aux longs rayons du soir Sur une pierre neuve, Signe de son épreuve, S'agenouiller, s'asseoir |
9. Plus d'une fleur nuance Ce voile du sommeil ; Là tout fut innocence Là tout parle d'espérance Et appelle le réveil | 10. Paix et mélancolie Veillent, là près des morts, Et l'âme recueillie Des vagues de la vie Croit y toucher les bords. |
(Harmonies poétiques et religieuses.)
ois (
La vieille maison abandonnée (Alphonse Lamartine)
Le mur est gris, la tuile est rousse, L'hiver a rongé le ciment ; Des pierres disjointes la mousse Verdit l'humide fondement |
La porte où file l'araignée, Qui n'entend plus le doux accueil, Reste immobile et dédaignée Et ne tourne plus sur son seuil. |
Les volets que le moineau souille Détachés de leurs gonds de rouille, Battent nuit et jour le granit, Les vitraux brisés par les grêles Livrent aux hirondelles Un libre passage à leur nid ! |
De la solitaire demeure Une ombre lourde d'heure en heure Se détache sur le gazon : Et cette ombre, couchée et morte, Est la seule chose qui sorte Tout le jour de cette maison ! |
A l'heure où la rosée s'évapore Tous ces volets fermés s'ouvraient à sa chaleur, Pour y laisser entrer, avec la tiède aurore, Les nocturnes parfums de nos vignes en fleur. |
La mère de sa couche à ces doux bruits levée, Sur ces fronts inégaux se penchait tour à tour, Comme la poule heureuse assemble sa couvée, Leur apprenant les mots qui bénissent le jour. |
Moins de balbutiements sortent du nid sonore, Quand au rayon d'été qui vient la réveiller, L'hirondelle au plafond qui les abrite encore, A ses petits sans plume apprend à gazouiller. |
Et les bruits du foyer que l'aube fait renaître, Montaient avec le jour, et dans les intervalles, Des aboiements du chien qui voit sortir son maître Les Claviers résonnaient dans le chant des cigales. |
(Cours familiers de littérature)
mon deuxieme blog :
ma mini ville
http://bibi69525.miniville.fr/
1. jeanclaude le 13-05-2008 à 13:43:27 (site)
un bonjour de mon passage
merci pour ton ptit mot sa fait super plaisir.je te souhaite une très belle journée avec plein de bonheur et de joie
bisous ton ami jean claude
voici comme promis deux autre video de germain
kevin un peut de tendresse pour bien comencer
la journée.
une video romantique d'amour et de tendresse
une video romantique et calme avec de belle
images
1. indobui le 13-05-2008 à 10:53:21 (site)
Salut,
c'est très beau et très reposant.
PS:la seconde vidéo ne veut pas s'ouvrir.
Bonne journée.
Si ok elle fonctionne.
édité le 13-05-2008 à 10:53:59
2. TIBILOUTE62 le 13-05-2008 à 10:56:54 (site)
<center>
Graphics for alcohol Comments</center> BON MARDI BISOUS A TOI
3. chipie1902 le 13-05-2008 à 11:00:38 (site)
bonjour patricia
trop belle vidéo
j espere que tu va bien ,
on a toujours un beau soleil
je doit déja refaire mes pelouse
grr j aime pas sa
je te souhaite une bonne journée
bisous nicole
4. theokevin88 le 13-05-2008 à 12:07:39 (site)
coucou super la video je passe te souhaite tres bonne journee
ton amie severin
Commentaires
1. belpeluche le 13-05-2008 à 17:02:56 (site)
kikou çà a changer ici ??
y a encore plus de coeur!!
on reste iciiiiiiiiiiiiii aloors hihi
poutous
2. lepapedd le 13-05-2008 à 17:05:20
bonsoir Patricia,je viens faire un chti tour sur votre blog que je trouve super,avec la zizik c'est encore plus agréable,jolieorchidée est à l'école,et au cours perfectionnement de Français,hoho ça c'est du rock! hyyyyha!c'est mes vingts ans,super ce boulot.
merci d'etre passée sur le blog que Marianne nous a ouvert,je suis désolé mais je ne connais pas tous les "trucs",pour etre à la hauteur et ne pas "facher"une personne qui lance une invite,les ami(es) de Marianne sont égalements nos ami(es).
bonne soirée et à bientot,{attention aux coups de soleils}Marianne en sait quelque-chose
Bisous Patricia à+