posté le 25-05-2010 à 23:28:24

vos cadeaux du jour

Bonsoir me voici avec vos cadeaux du jour en cette fin de soirée.
On as eu du soleil toute la journée mais là c'est la pluie et le vent qui viennent d'arrivés.
En se moment mais journée son plutôt calme mais sa va pas duré.
Cool enfin j'ai trouvé l'alternateur pour ma voiture mon chéri est aller le chercher aujourd'hui.

Reste à le monter et la voiture pourras enfin revenir a son port d'attache .
Trop contante car pas rassurée de la savoir à Saint Dizier au vert bois même si mon amie Marianne veille dessus.

Car elle est derrière chez elle. Je vais pouvoir enfin faire mes démarches tranquille.
Ma bronchite commence à aller mieux donc tous va bien.
Voici pour les petite nouvelles et je vous souhaite un bonne nuit . 

 

 

cadeau de avaryan

 

 

cadeau de  lafianceedusoleil

 

 

  cadeau de dodo62
 

 

 

 


Commentaires

 

1. lapinbleu2  le 26-05-2010 à 04:33:14  (site)

kikoo ma tite Patricia..
bien dormi ?
bonne journée ensoleillée..
kissouilles.. jean claude..

2. lafianceedusoleil  le 26-05-2010 à 07:50:10  (site)

salut Pat,
espère que tu as bien dodoté et que tu es en forme pour la journée.
Bon mercredi ma jolie
bisou

smiley_id117175

 
 
 
posté le 25-05-2010 à 18:11:53

nos poétes: Gérard de NERVAL (1808-1855)

 

 

Gérard de NERVAL (1808-1855)
 


Présentation:

 

 

De son vrai nom Gérard Labrunie (1) , Nerval emprunte son nom à un modeste bien, hérité de sa mère, un champ appelé Nerva.

Sa mère, Marie, Gérard de Nerval ne l'a pas connue : il est né le 22 mai 1808, à Paris, alors que son père , chirurgien a rejoint les troupes napoléoniennes. Il est confié à un oncle aubergiste à Mortefontaine (2), près de Senlis. Marie meurt 2 ans après, et lorsque le père revient en France en 1814, les souvenirs qu'il avait de sa femme (portraits, lettres) se sont évanouis dans la retraite de Russie.

Gérard de Nerval cherchera toute sa vie à se représenter ce visage de femme inconnue (3).
Au lycée Charlemagne, à Paris, il étudie à 18 ans le latin, le grec, l'italien, l'arabe et le persan. Il s'essaie à la traduction de poèmes allemands, et traduit Faust, qui lui vaut d'être félicité par Goethe, et reçu par Victor Hugo (4).

Il mène une vie de bohème dans le quartier rive gauche, se lie avec Théophile Gautier, avec lequel il participe à la bataille d'Hernani en 1830, pour imposer le drame romantique, il participe à un défilé d'étudiants contestataires qui veulent l'établissement de la République, ce qui le conduit à la prison de Sainte Pélagie pendant quelques jours. A la suite de l'épidémie de choléra qui s'abat sur la capitale, il commence des études de médecine.

Bon vivant, amateur de bals, de soupers, de fêtes costumées, il se lie avec une comédienne, Jenny Colon, qui lui inspire une vive passion.

En 1838, Jenny lui annonce qu'elle désire se marier avec un flûtiste. Est-ce à cause de ce premier amour malheureux que les troubles psychiques apparurent ? Quoi qu'il en soit, en février 1841 survient la première crise : Gérard de Nerval décide de sortir de chez lui, par -18° , peu couvert, sous prétexte que les « Lapons ne sont jamais malades » et tombe, inanimé, sur la chaussée.
C'est le début de nombreuses crises.

Quand Gérard de Nerval retrouve sa raison, c'est pour apprendre la mort de Jenny (5). Il décide de partir en voyage, en 1843, pour l'Orient, mais ne publie le fruit de cette expérience dans son Voyage en Orient qu'en 1851. (6)

L'année 1853 marque les débuts des crises de folie régulières (7) : il fait 7 séjours dans une maison de santé, il réussit à s'enfuir (les médecins le pensaient guéri) jusqu'au jour où on le vit au Palais-Royal tenir en laisse un homard.

Il devient le pensionnaire de la clinique du Docteur Blanche, à Passy,

A partir de cette période, le passé et le présent se mêlent sans distinction, les visages féminins se superposent et leur nom devient des titres de nouvelles. De là naissent les Les petits châteaux de Bohème, Sylvie, en 1853, puis les Filles de feu et les Chimères, recueil de poésies, en 1854. Sous le titre d'Odelettes, il insère des poèmes dans les Châteaux de Bohème, en prose, et emprunte à Walter Scott, dans Ivanhoé, le nom d'un chevalier, portant sur ses armoiries un chêne déraciné et sa devise, el Desdichado (le déshérité).

Dans l'univers de Nerval les époques se côtoient dans une pure fantaisie, l'obsession du double (8) (figure de la folie) hante ses pages ainsi que les rencontres féminines, qui suscitent le doute, l'espoir et finalement le néant (9). Ce sont dans les moments de lucidité que Nerval écrit, et jamais orthographe ou expression ne lui fit défaut. Son imaginaire, son délire était source, miraculeusement pourrait-on dire, d'une création intense et rigoureuse.

Il est retrouvé pendu à la grille d'un escalier rue de la Vieille Lanterne, près du Châtelet, son chapeau sur la tête.
De son vrai nom Gérard Labrunie (1) , Nerval emprunte son nom à un modeste bien, hérité de sa mère, un champ appelé Nerva.

Sa mère, Marie, Gérard de Nerval ne l'a pas connue : il est né le 22 mai 1808, à Paris, alors que son père , chirurgien a rejoint les troupes napoléoniennes. Il est confié à un oncle aubergiste à Mortefontaine (2), près de Senlis. Marie meurt 2 ans après, et lorsque le père revient en France en 1814, les souvenirs qu'il avait de sa femme (portraits, lettres) se sont évanouis dans la retraite de Russie.

Gérard de Nerval cherchera toute sa vie à se représenter ce visage de femme inconnue (3).
Au lycée Charlemagne, à Paris, il étudie à 18 ans le latin, le grec, l'italien, l'arabe et le persan. Il s'essaie à la traduction de poèmes allemands, et traduit Faust, qui lui vaut d'être félicité par Goethe, et reçu par Victor Hugo (4).

Il mène une vie de bohème dans le quartier rive gauche, se lie avec Théophile Gautier, avec lequel il participe à la bataille d'Hernani en 1830, pour imposer le drame romantique, il participe à un défilé d'étudiants contestataires qui veulent l'établissement de la République, ce qui le conduit à la prison de Sainte Pélagie pendant quelques jours. A la suite de l'épidémie de choléra qui s'abat sur la capitale, il commence des études de médecine.

Bon vivant, amateur de bals, de soupers, de fêtes costumées, il se lie avec une comédienne, Jenny Colon, qui lui inspire une vive passion.

En 1838, Jenny lui annonce qu'elle désire se marier avec un flûtiste. Est-ce à cause de ce premier amour malheureux que les troubles psychiques apparurent ? Quoi qu'il en soit, en février 1841 survient la première crise : Gérard de Nerval décide de sortir de chez lui, par -18° , peu couvert, sous prétexte que les « Lapons ne sont jamais malades » et tombe, inanimé, sur la chaussée.
C'est le début de nombreuses crises.

Quand Gérard de Nerval retrouve sa raison, c'est pour apprendre la mort de Jenny (5). Il décide de partir en voyage, en 1843, pour l'Orient, mais ne publie le fruit de cette expérience dans son Voyage en Orient qu'en 1851. (6)

L'année 1853 marque les débuts des crises de folie régulières (7) : il fait 7 séjours dans une maison de santé, il réussit à s'enfuir (les médecins le pensaient guéri) jusqu'au jour où on le vit au Palais-Royal tenir en laisse un homard.

Il devient le pensionnaire de la clinique du Docteur Blanche, à Passy,

A partir de cette période, le passé et le présent se mêlent sans distinction, les visages féminins se superposent et leur nom devient des titres de nouvelles. De là naissent les Les petits châteaux de Bohème, Sylvie, en 1853, puis les Filles de feu et les Chimères, recueil de poésies, en 1854. Sous le titre d'Odelettes, il insère des poèmes dans les Châteaux de Bohème, en prose, et emprunte à Walter Scott, dans Ivanhoé, le nom d'un chevalier, portant sur ses armoiries un chêne déraciné et sa devise, el Desdichado (le déshérité).

Dans l'univers de Nerval les époques se côtoient dans une pure fantaisie, l'obsession du double (8) (figure de la folie) hante ses pages ainsi que les rencontres féminines, qui suscitent le doute, l'espoir et finalement le néant (9). Ce sont dans les moments de lucidité que Nerval écrit, et jamais orthographe ou expression ne lui fit défaut. Son imaginaire, son délire était source, miraculeusement pourrait-on dire, d'une création intense et rigoureuse.

Il est retrouvé pendu à la grille d'un escalier rue de la Vieille Lanterne, près du Châtelet, son chapeau sur la tête.
De son vrai nom Gérard Labrunie (1) , Nerval emprunte son nom à un modeste bien, hérité de sa mère, un champ appelé Nerva.

Sa mère, Marie, Gérard de Nerval ne l'a pas connue : il est né le 22 mai 1808, à Paris, alors que son père , chirurgien a rejoint les troupes napoléoniennes. Il est confié à un oncle aubergiste à Mortefontaine (2), près de Senlis. Marie meurt 2 ans après, et lorsque le père revient en France en 1814, les souvenirs qu'il avait de sa femme (portraits, lettres) se sont évanouis dans la retraite de Russie.

Gérard de Nerval cherchera toute sa vie à se représenter ce visage de femme inconnue (3).
Au lycée Charlemagne, à Paris, il étudie à 18 ans le latin, le grec, l'italien, l'arabe et le persan. Il s'essaie à la traduction de poèmes allemands, et traduit Faust, qui lui vaut d'être félicité par Goethe, et reçu par Victor Hugo (4).

Il mène une vie de bohème dans le quartier rive gauche, se lie avec Théophile Gautier, avec lequel il participe à la bataille d'Hernani en 1830, pour imposer le drame romantique, il participe à un défilé d'étudiants contestataires qui veulent l'établissement de la République, ce qui le conduit à la prison de Sainte Pélagie pendant quelques jours. A la suite de l'épidémie de choléra qui s'abat sur la capitale, il commence des études de médecine.

Bon vivant, amateur de bals, de soupers, de fêtes costumées, il se lie avec une comédienne, Jenny Colon, qui lui inspire une vive passion.

En 1838, Jenny lui annonce qu'elle désire se marier avec un flûtiste. Est-ce à cause de ce premier amour malheureux que les troubles psychiques apparurent ? Quoi qu'il en soit, en février 1841 survient la première crise : Gérard de Nerval décide de sortir de chez lui, par -18° , peu couvert, sous prétexte que les « Lapons ne sont jamais malades » et tombe, inanimé, sur la chaussée.
C'est le début de nombreuses crises.

Quand Gérard de Nerval retrouve sa raison, c'est pour apprendre la mort de Jenny (5). Il décide de partir en voyage, en 1843, pour l'Orient, mais ne publie le fruit de cette expérience dans son Voyage en Orient qu'en 1851. (6)

L'année 1853 marque les débuts des crises de folie régulières (7) : il fait 7 séjours dans une maison de santé, il réussit à s'enfuir (les médecins le pensaient guéri) jusqu'au jour où on le vit au Palais-Royal tenir en laisse un homard.

Il devient le pensionnaire de la clinique du Docteur Blanche, à Passy,

A partir de cette période, le passé et le présent se mêlent sans distinction, les visages féminins se superposent et leur nom devient des titres de nouvelles. De là naissent les Les petits châteaux de Bohème, Sylvie, en 1853, puis les Filles de feu et les Chimères, recueil de poésies, en 1854. Sous le titre d'Odelettes, il insère des poèmes dans les Châteaux de Bohème, en prose, et emprunte à Walter Scott, dans Ivanhoé, le nom d'un chevalier, portant sur ses armoiries un chêne déraciné et sa devise, el Desdichado (le déshérité).

Dans l'univers de Nerval les époques se côtoient dans une pure fantaisie, l'obsession du double (8) (figure de la folie) hante ses pages ainsi que les rencontres féminines, qui suscitent le doute, l'espoir et finalement le néant (9). Ce sont dans les moments de lucidité que Nerval écrit, et jamais orthographe ou expression ne lui fit défaut. Son imaginaire, son délire était source, miraculeusement pourrait-on dire, d'une création intense et rigoureuse.

Il est retrouvé pendu à la grille d'un escalier rue de la Vieille Lanterne, près du Châtelet, son chapeau sur la tête.

Notes:
références à 2 poèmes
(1) Son père originaire d’Agen, des rêves parfois d’origine noble
Fantaisie
(2) La 3ème strophe décrit le château de Mortefontaine
(style Louis XIII, près d’Ermenonville)
« château de briques …
Ceint de grands parcs… »
(3) Première strophe « il est un air…… »
Et dernière strophe « …blonde aux yeux noirs, en ces habits anciens
Que, dans une autre existence peut être,
J’ai déjà vue ! et dont je me souviens ! »
représentation que l’on retrouve mêlée à ces héroïnes féminines
(4) repris dans le livret de la Damnation de Faust (Berlioz)


El Desdichado
(5) « …le ténébreux, le veuf, l’inconsolé …
Ma seule étoile est morte… »
(6) aussi des voyages en Italie qui l’apaisent
« Rends-moi le Pausilippe …. »
(7) « … le soleil noir de la mélancolie…
Par deux fois, vainqueur, j’ai traversé l’Achéron… (deux de ses crises)»
(8) « … le prince d’Aquitaine à la tour abolie… »
Avec la note (1). Le prince d’Aquitaine : le prince Noir qui avait vaincu
le roi de France
La tour abolie : figure des tarots,
(la tour de Babel sous un foudroiement divin)
(9) « mon front est rouge encore du baiser de la reine » (la reine de Saba)

 

  Un de ses poémes que je trouve superbe

 

 

 

 

 

Une femme est l'amour

 

Une femme est l'amour, la gloire et l'espérance ;
Aux enfants qu'elle guide, à l'homme consolé,
Elle élève le coeur et calme la souffrance,
Comme un esprit des cieux sur la terre exilé.

Courbé par le travail ou par la destinée,
L'homme à sa voix s'élève et son front s'éclaircit ;
Toujours impatient dans sa course bornée,
Un sourire le dompte et son coeur s'adoucit.

Dans ce siècle de fer la gloire est incertaine :
Bien longtemps à l'attendre il faut se résigner.
Mais qui n'aimerait pas, dans sa grâce sereine,
La beauté qui la donne ou qui la fait gagner ?



 


Commentaires

 

1. lafianceedusoleil  le 25-05-2010 à 21:38:17  (site)

kikou Pat,
il est très intéressant ton article ma jolie, je te remercie. Souhaite que tu n'as pas eu trop chaud. Nous venons d'avoir un petit orage pas bien méchant.
Bonne soirée Pat
Bisou
Cliquez ici pour voir mon image

2. Avaryan  le 25-05-2010 à 21:40:46  (site)

hello,je ne connait pas beaucoup ce poéte, moi je suis plutôt Zola, j'ai lu tout ses bouquins surtout les rougeons Macquart, que j'ai lu et relue , il y a 25 volumes de cette Dinasty,Bon a part ça j'éspére que tu va bien?moi ça va, Je te souhaite une bonne soirée et te fait un gros bisous
Daniellel

Avaryan

 
 
 
posté le 25-05-2010 à 08:00:44

bonjour :bon mardi

 


Aujourd'hui nous sommes:
Mardi 25 mai
 


Nous fêtons la saint:
Sophie
Ainsi que:
Aldhelm - Bède - Bedel - Hildebrand - Hildebrande - Ildebrand - Lya - Lyane - Lyé - Madeleine-Sophie - Saphia - Socorro - Sofia - Sofiane - Sohnia - Sohnie - Sonia - Sonja - Sophia- Sophus - Zophia
 


C'est l'anniversaire de notre ami(e)

 http://ptite-etoile.vefblog.net
 désoler aparement son blog existe plus si quelqu'un sais si elle en as un autre fait nous le savoir on pouras aller lui fêté.
 


Ma citation du jour:Tony Duvert(1946)

Or le bonheur, quand à lui, est un sonneil éternel.

Rien de plus ligitime que de le protégeer contre les malades atteins d'insomnie.

 

 

 

 

 


Commentaires

 

2. bouloute  le 25-05-2010 à 08:33:56  (site)

bon mardi à toi ma belle avec tout plein de soleil et de douceur
bisous bisous
marinella

3. ambrelys  le 25-05-2010 à 09:15:52  (site)

Coucou merci de ton passage oui mon we c'est bien passé en plus il a fait super beau
Je te souhaite aussi un tres bon mardi

Amitié Ambrelys

4. lacalobra  le 25-05-2010 à 09:31:15  (site)

très bon mardi à toi ma belle et un gros bisou.. fait très chaud aujourd'hui, encore sur paris, un calinou au grand deserteur eclipse lol.. gros bibi flo.

5. chipie51  le 25-05-2010 à 10:57:46  (site)

bonjour Patricia
je passe te souhaiter une belle journée après avoir passer 2 jours en haute marne ou il a fait aussi très chaud, hier soir avons même dîner dehors mais ça ne va pas durer
bisous

6. minouche145  le 25-05-2010 à 11:00:55  (site)

coucou
comment se passe ce mardi ?
ici, il fait encore bien beau
espérons que cela dure encore
passe un bon mardi,
la semaine sera vite finie...
bisous

7. horizon66  le 25-05-2010 à 14:18:05

Salut Patricia, j'aime venir chez toi, alors tu vois avec se commentaire je te souhaite une belle après-midi, gros gros bisous. Stéphane

8. lolo78000  le 25-05-2010 à 15:14:14  (site)

petit passage pour te souhaiter un très bon après-midi gros bizzzous

9. mariana66  le 25-05-2010 à 18:01:34  (site)

je viens te faire un pti coucou et te souhaiter une bonne soirée j'ai passé un très bon weekend prolongé jusqu'aujourdhui avec le soleil quel bonheur lolllllllllllllllllll
bises mariana

10. johnnydu51  le 25-05-2010 à 23:22:04  (site)

tres jolie crea patricia

 
 
 
posté le 24-05-2010 à 23:14:21

vos cadeaux du week-end

Bonsoir voici vos cadeaux du week-end.

 Je vous remercient tous pour votre fidellitée et vos gentille cadeaux malgrés mon absence.

Je vais bien malgrés que ma bronchite à du mal a passer et tous se passe pour le mieux.

J'espere que pour vous aussi

Je vous souhaite une bonne fin de soirée et une douce nuit.

 

 

 cadeau de avaryan

 

 

cadeau de dodo62

 

 

cadeau de lafianceedusoleil

 

 

cadeau de nousdeux

 

 

 

 

cadeau de pocanhontas

 


 

 


Commentaires

 

1. lafianceedusoleil  le 24-05-2010 à 23:16:45  (site)

Bonsoir ma petite Pat,
je viens de rentrer d'un super week end en Alsace, il a fait très chaud.
Souhaite que le tien fut extra et que tu as bien profiter ma jolie.
Bonne semain Pat
bisou

2. lapinbleu2  le 25-05-2010 à 04:49:58  (site)

kikoo ma tite Patricia..
j'espère que ton week end s'est trés bien passé..
au fait pour dodo tu as sa date d'anniversaire ?
je vois qu'elle te laisse des tits cadeaux..
ça serait bien d'avoir sa date d'anniversaire exacte.. lolllllll..
bonne journée..
kissouilles.. jean claude

3. obeline8o  le 25-05-2010 à 05:10:04  (site)

kikou patricia je passe te souhaiter une très bonne journée gros bisous

4. creas  le 25-05-2010 à 07:26:36

Bon mardi ma chère Pat, oui tu as raison de profiter du temps présent ! Gros bisous

5. johnnydu51  le 25-05-2010 à 07:35:40  (site)

bonjour patricia
merci de ta visite , il y a une crea sur mon blog si tu veux tu peut la prendre
j'ai fait un autre blog sur vefblog que des tube et des fond c'est pour tout le mond tu peut les prendre
http://zac1965.vefblog.net
passe une bonne journee
bruno

 
 
 
 

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