voici qu'elle création de conception pour vous

 souhaiter un bonne après midi.

celle-ci dédier a l'amour de ma vie

                      création faite à mon chéri

                  celle -ci juste pour un petit délire

pour simplment vous le souhaiter

voila pour cette apres midi 

 se matin j'ai decidée de vous montré de jolis

 tableau de nu avec quelque poémes

CHANSON D’AUTOMNE
 

Les sanglots longs

Des violons de l’automne

Blessent mon cœur

D’une langueur monotone.

Tout suffocant

Et blême, quand sonne l’heure,

Je me souviens

Des jours anciens

Et je pleure.

Et je m’en vais

Au vent mauvais qui m’emporte

Deça, delà,

Pareil à la feuille morte

(Paul Verlaine, poèmes saturniens)

TOUTE PENSEE EST UNE FLEUR…

Toute pensée est une fleur
Unique en son espèce.

Qui naît, s’ouvre et brille, lueur

Dans notre nuit épaisse.

Elle paraît et disparaît

Comme un rêve à l’aurore.

D’où vient-elle ? On l’ignore.

Dans son éclat, dans sa fraîcheur,

Avant qu’elle nous laisse,

Embaumons-la, forme et couleur,

La frêle enchanteresse.

Toute pensée est une fleur

Unique en son espèce.

                      (Frédéric Amiel)                       

Demain, dès l’aube…
 

Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,

Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.

J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.

Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

(Extrait, Victor Hugo, Les contemplations)

Elle était déchaussée, elle était décoiffée…

Elle était déchaussée, elle était décoiffée,

Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants,

Moi qui passais par là, je crus voir une fée,

Et je lui dis :  Veux-tu t’en venir dans les champs ?

Elle essuya ses pieds à l’herbe de la rive :

Elle me regarda pour la seconde fois,

Et la belle folâtre alors devint pensive.

Oh ! comme les oiseaux chantaient au fond des bois !

(Extrait, Victor Hugo, Les Contemplations)

Mon bras pressait ta taille frêle…(l'Etreinte)

Mon bras pressait ta taille frêle

Et souple comme le roseau :

Ton sein palpitait comme l’aile

D’un jeune oiseau.

Longtemps muets, nous contemplâmes

Le ciel où s’éteignait le jour.

Que se passait-il dans nos âmes ?

Amour ! Amour !

Comme un ange qui se dévoile,

Tu me regardais, dans la nuit,

Avec ton beau regard d’étoile,

Qui m’éblouit.

(Victor Hugo, Les Contemplations)

Sara la baigneuse !
 

Reste ici caché : demeure !

Dans une heure,

D’un œil ardant tu verras

Sortir du bain l’ingénue,

Toute nue,

Croisant ses mains sur ses bras.

Car c’est un astre qui brille

Qu’une fille

Qui sort d’un bain au flot clair,

Cherche s’il ne vient personne,

Et frissonne,

Toute mouillée au grand air.

(Extrait, Victor Hugo, Les orientales)

Un soir que je regardais le ciel…
 

Elle me dit, un soir, en souriant :

-Ami, pourquoi contemplez-vous sans cesse

le jour qui fuit, ou l’ombre qui s’abaisse,

Ou l’astre d’or qui monte à l’orient ?

Que font vos yeux là-haut ? je les réclame.

Quittez le ciel; regardez dans mon âme !

(Extrait, Victor Hugo, Les Contemplations)

Le Réveil
 

Si tu m’appartenais (faisons ce rêve étrange !),

Je voudrais avant toi m’éveiller le matin

Pour m’accouder longtemps près de ton sommeil d’ange

Egal et murmurant comme un ruisseau lointain.

Oh ! Comprends ce qu’il souffre et sens bien comme il aime,

Celui qui poserait, au lever du soleil,

Un bouquet, invisible encor, sur ton sein même,

Pour placer ton bonheur plus près de ton réveil !

(Extrait, René-François SULLY PRUDHOMME, Les solitudes)

Ecoute, tout mon cœur…
 

Ecoute, tout mon cœur se déchaîne et t’appelle,

C’est fini des pâleurs timides et des cris

Qui restent dans la gorge en pleurs des tourterelles.

C’est fini des mots bleus et des gestes fleuris.

C’est fini de t’aimer en nouant des guirlandes

D’avril sur tes cheveux, en me pendant à toi

Comme un panier de joncs où meurent des lavandes

Quand la lune le soir nous conduit dans les bois.

(Cécile Sauvage)

Il pleure dans mon cœur…
 

Il pleure dans mon cœur

Comme il pleut sur la ville ;

Quelle est cette langueur

Qui pénètre mon cœur ?

O bruit de la pluie

Par terre et sur les toits !

Pour un cœur qui s’ennuie,

O le chant de la pluie !

(Extrait, Paul Verlaine, Romances sans paroles)

L’Angelus du matin
 

Fauve avec des tons d’écarlate,

Une aurore de fin d’été

Tempétueusement éclate

A l’horizon ensanglanté.

La nuit rêveuse, bleue et bonne

Pâlit, scintille et fond dans l’air,

Et l’ouest dans l’ombre qui frissonne

Se teinte au bord de rose clair.

La plaine brille au loin et fume.
Un oblique rayon venu

Du soleil surgissant allume

Le fleuve comme un sabre nu.

(Extrait, Paul Verlaine, Jadis et naguère)

Le foyer, la lueur étroite de la lampe…

Le foyer, la lueur étroite de la lampe ;

La rêverie avec le doigt contre la tempe

Et les yeux se perdant parmi les yeux aimés :

L’heure du thé fumant et des livres fermés ;

La douceur de sentir la fin de la soirée ;

La fatigue charmante et l’attente adorée ;

De l’ombre nuptiale et de la douce nuit,

Oh ! tout cela, mon rêve attendri le poursuit

Sans relâche, à travers toutes remises vaines,

Impatient mes mois, furieux des semaines !

(Paul Verlaine, La bonne chanson)

L’Amour de l’Amour

Aimez bien vos amours ; aimez l’amour qui rêve

Une rose à la lèvre et des fleurs dans les yeux ;

C ‘est lui que vous cherchez quand votre avril se lève,

Lui dont reste un parfum quand vos ans se font vieux.

(Extrait, Germain Nouveau, La Doctrine de l’amour)

Quand ton sourire me surprit…

Quand ton sourire me surprit,

Je sentis frémir tout mon être ;

Mais ce qui domptait mon esprit,

Je ne pus d’abord le connaître.

Ce qui me vainquit à jamais,

Ce fut un plus douloureux charme,

Et je n’ai su que je t’aimais

Qu’en voyant ta première larme !

(Armand Sylvestre)

Ecoutez la chanson

Ecoutez la chanson bien douce

Qui ne pleure que pour vous plaire.

Elle est discrète, elle est légère :

Un frisson d’eau sur la mousse !

Et dans les longs plis de son voile

Qui palpite aux brises d’automne,

Cache et montre au cœur qui s’étonne

La vérité comme une étoile

(Extrait, Paul Verlaine, Sagesse)

 partis deux:

  Papa n'était jamais là est maman pleurais souvent,il étais en

cure à Mirecourt et on si rendais en train et

financiérement c'etais dure.

 Dans l'hopital il y avais des grands parcs nous y

 fessions de grande promenade la journée

 paraissait trop courte.

    Lorsque papa est renté à la maison, il ne

 buvais plus, il prenais du temp avec nous, en été

 des partis de foot et en hivert des batailles de

 boules de neige .

    Il voulait tous refaire dans la maison, un jardin

 un atelier. Il nous fessait travailler avec lui .

 Nous portions des seau de terre d'un endroit à

 un autre pour défois les remêtre là ou nous les

 avions pris, bêcher le jardin monter des murs

 d'aglots ect..Je me souvient nous n'avions plus

 un moment ou nous avions rien a faire, n'y un

 moment pour jouer comme les autres.Seul le 

 soir lorsque mes parents regardait la télévision

 on étais libre.Mais nous étions tellement fatigués

 que défois nous n'avions même pas la force de

 jouer.Nous passions la soirée a discuter avec nos

 amis.

 défois je me demande comment nous trouvions

 la force de jouer avec nos copin apres un si dure

 travail.Quelque fois nos camarades nous aidaient

 pour que nous puissions être libre plus vite et il

 ne trouvais pas sa normal que nous travaillons

 autant.Les journée passait tres vite.

   Avec mon pére j'allait chez un de ses collégues de travail qui s'appelait coucous,il avait un frère qui étais marié, il vivait avec lui.

     Un jour il dit a papa qu'il avait des légumes de

 son jardin a nous donner qu'il pouvais m'envoyer les chercher qu'il étais près.Mon pére m'y envoyas et lui aussi abusas de moi.

       A chaque foi qu'il venais as la maison j'avait

 peur que cela recommence, et cela recommenças

 encor et encor.

      A cette même periode deux autre homme

 abusèrent de moi, mon grand pére et mon oncle.

 Il habitais a Nouvion sur Meuse dans la méme

 maison .

    Mon pére nous croyais en securité chez son

 pére!

    Lorsque nous étions chez lui nous dormions

 mes fréres et moi sur un matelas mis a même le

 sol.

    Un soir mon oncle me réveillas et me mis la

 main sur la bouche et me dit chut réveillent pas

 tes fréres et il sortis son sexe j'étais téroriser il

 me paressait énorme. D'autre nuit c'étais mon

 grand père qui venait me chercher et il me fit de

 même. J'avais horreur d'aller chez mon grand

 père.

 J'ai tres peut de souvenir de ma grand mère,la

 seule chose que je sais c'est que ses évènements

 se sont passés après son déces.

    Se que ja me r'appelle d'elle c'est quelle aurais

 été la maman que j'aurais voulus tendre et

 attentionnée mes défois sévére quand il le

 falllait.

     Le jour de son enterrement je me souvient

 tous le monde pleuraient, elle étais dans la

 chambre du bas ou mon oncle invalide dormais.

     Nous les enfants avions pas le droit de renter

 ont ne comprenaient pas pourquoi.  Je voulait

 voir ma grand mère et on me disait pas

 pourquoi,ont nous dissaient rien et je le compris

 beaucoup plus tard.

    Suite a se déces mon oncle invalide et venu

 habiter chez nous.

    Au bout d'un cetain temp mon oncle tombas

 amoureux de moi.A table nous étions l'un a coté

 de l'autre.Il me carressait très souvent les

 cuisses lorsque nous étions à table, cela duras

 des années.

     Un jour losqu'il sortis des toilettes il savais

 que j'attendait mon tour pour y aller avant de

 me coucher,Il sortis avec son sexe en dehors de

 son pantalon il me paru tous fripper ma mère qui

 étais encors là le vit agir.

      Elle lui dit de ne plus jamais recommencer sa

 Par le suite elle attendais que je sois monter me

 coucher pour y aller ensuite. 

      A l'age de treize ans j'enmenais mon oncle

 tous les sanedi après midi en course .

      Pouser un invalide pendant des kilomètres ce

 n'est pas marent sour tous quand il y as une

 énorme cote a monter au retour.

      Ce que j'apprèciait dans cette balade c'est

 que pendant se temps là je ne fesait pas de

 corvée et nous discutions de beaucoup de choses

 c'est lui qui me fesait mes devoirs le soir.

 Je crois que c'est grâce as lui que je fessait

 beaucoup de progres en classe.

 revemons à l'âge de mes huite ans et demi .

    Un jour que mes parents étais absent mon

 frère aîné n'appelas . Il étais dans sa chambre il

 abusa de moi aussi,il me dit tient voilà dix francs

 et tu dit rien a personne avec tous les problémes

  que j'avait déjà je pouvait rien direet il le fit

 plusieurs foi.

     Un jour que nous nous étions enfermé dans 

 ma chambre ma mère nous surpris nous avions

 fermé la porte a clé,nous avions prétexté une

 partis de cache cache: idée ridicule car ma

 chambre étais minuscule.

     Je devinas  que ma mére avait compris se qui

 c'étais passé mais elle ne dit rien a mon pére

 certainemant par peur aussi car elle le craignais

 beaucoup.

  la suite demain 

  ces deux poemes trouver sur le net son

  tellement jolie que j'ai voulu vous les faire

  partager

    Mon fils

 Le temps est à l'orage,
 Et dans mon coeur aussi,
 Il y a de la pluie,
 Dans ma tête, c'est la tempête.

 Seule, comme une âme en peine,
 Je traîne ma tristesse, jusqu'au bout de la nuit,
 Je dois m'habituer à ma nouvelle vie,
 Avec la solitude comme nouvelle amie.

 La maison est si vide, depuis que tu es parti,
 Je dois apprendre à vivre sans toi,
 Toi, qui était toute ma vie,
 Je sais que c'est normal,
 Mais mon coeur a si mal.

 Depuis le jour de ta naissance,
 je n'ai pensé qu'à te protéger,
 Qu'à vivre pour tout te donner,
 Et je n'ai pas vu les années défilées.

 Je ne sais plus vivre pour moi,
 Je n'ai plus envie de sourire,
 Et je m'enfonce dans un grand tunnel
 Où je n'arrive plus à voir à la lumière.

 J'ai peur que tu te brûles les ailes,
 Tu as encore l'insouciance de ta jeunesse.
 Je ne sais pas comment faire?
 Il n'y a qu'une solution :
 La vie doit continuer.
 Même si désormais, mes matins sont chagrins
 Lorsque je vois ton lit vide quand je pars  

 travailler.

 Tu me dis de ne pas pleurer,
 Et de penser enfin à moi,
 Je te promets que je vais essayer.
 J'ai posé les rails de ta vie,
 A toi de batir ton avenir.

 J'ai confiance en toi, mon fils,
 Vogue vers ton futur,
 Construis ta vie au fur et à mesure,
 Je serai toujours là pour toi

 Je t'aime mon fils

         Lettre à ma fille  

 Des yeux qui naissent du cœur
 Une voix qui trahie tes peurs
 Des ambitions qui poussent le rêve à toute 

 horizon
 Tu es ma fille, ma grande, ma fierté, mon

 exaltation

 Tu réussis tout ce que j'ai essayé
 Tu es brillante personne ne peut le nier
 Bientôt tu seras une femme
 L'amour devant toi posera ses armes

 Je veux te dire ce que je n'ai pas dit assez

 souvent
 Je t'aime comme seul l'amour d'une mère peut 

 être grand
 J'ai en mémoire chacune des caresses que tu 

 m'as faites
 Elles y sont gravées elles ne sont pas abstraites

 J'ai tellement besoin de savoir que tu es

 heureuse
 Je ne voudrais jamais te savoir anxieuse
 Mais la vie joue parfois des tours
 J'espère que tu seras forte grâce à mon amour  

 Tu es ma perle, mon diamant
 Ce que j'ai de plus précieux 
 mon enfant