mon amour éternel

plein de ressources

 merci mon amour pour se joli texte il est 

 magnifique comme toi mon amour tu est 

 quelqu'un de formidable gros bisou

  voici un autre texte pris chez mon cheri je le

  trouvais superbe alor je le partage avec vous

 PAULE VERLAINE:(Metz 1844,Paris 1896.)

Son oeuvre :

 A se stage nous étions quatres filles et 17

 garçons certain étais marié d'autre pas. Je fit la

 connaisance d'un homme qui étais marié, dans

 les preniers jour il me guida dans la ville de

 Saint-Dizier que je connaisais pas. Je me rendit

 trés vite compte que son but étais plutot d'avoir

 des raports avec moi que amicalement.Je rentras

 le prenier week-end à la maison sans trop avoir 

 eu de dificulté. La deuxieme semaine,

 je me liait d'amitiée avec un autre garçon.

     Nous tombâmes trés vite amoureux.

 Quelque semaine plus tard je le présentas à mes

 parents, ils m'axeptérent pas cette

 relation,malgres cella je décidas de ne rentrer

 que un week-end sur deux. A la fin du stage je

 décidas de vivre avec l'homme que j'aimais.

 Il n'étais n'y beau n'y laid n'y riche pour mon

 pére se n'étais qu'un moin que rien mais pour

 moi a cette époque la c'étais le plus beau des

 homme.

     alors j'ai demander à mon pére de choisir

 entre lui et moi,il désidas de me laiser faire

 espérant que cette idile ne durerais pas.

    au moment ou j'ecris ses mots cela fait 12 ans

 que je suis marié avec lui. douze ans de bataille

 entre mon pére et mon mari il se sont souvent

 batus et les heurts on été souvent très dure pour

 moi et nos six enfants .Voir son grand pére

 insulter plus bas que terre son pére et lui t'apper

 deçus les a beaucoup perturbés .Nous avons

 mème passer une période de un an et demi à ne

 plus mêtre les pieds chez mes parents .Car mon

 pére étais une foi de plus soul et  sans étais pris

 à nous et nous avais mit à la porte avec les

 petits la derniére avait deux moi et nous dûment

 nous rendre à la gare a pied avec nos cinq piots

 et nos bagages en pleine forte chaleur car nous

 étions venu en train .

 Je ne redonnas des nouvelles à ma mére qu'a la 

 naisance de notre sixienne enfants un peut plus

 d'un ans aprés et par téléphone .Je me rendit six

 moi après chez mes parent car ma mére m'avait

 jurer que mon pére ne buvais plus et qu'il allait  

 mieux.

 Je mit rendit seule avec les enfants car leur pére

 me voulais pas venir je respectas son choix .

 Petit à petit le pére de mes enfants fini par

 revenir avec nous de temp en temp chez mes

 parents .

 Dificile de se diviser entre ses parents et le pére

 de ses enfants mais mes parents ont fini par

 accepter que l'on sois ensemble mais beaucoup

 de blesures  étais pas sicatriser.

      Aujourd'hui 19 mars 1997.

  La petite amie d'un de mes fils qui a 16 ans à

 raconter a celui ci que son beau pére abusais

 d'elle et étais trés violants avec elle. Mon fils et

 venus me voir en me disant qu'il savait pas koi

 faire .

 Je l'avait rencontrer qu'une seule foi mais j'avais

 eu l'impretion de me retrouver en elle. Je la

 trouvais tristE et renfermer sur elle méme .Se 

 n'ai que quand mon fils m'expliqu'a que je

 compris.Elle m'appellait au secour par

 l'intermediaire de mon fils.Moi qui aurais t'en

 voulu qu'on vienne a mon secours .J'avais peur

 de se qui pouvais arriver et des consequances

 pourquoi j'hesitais mon passer revenais à grand

 pas.

 Je dècidas de téléphoner as enfance maltraiter

 pour savoir quoi faire avec l'accord de mon fils

 bien sur.La police et intervenus des le lendemain

 il sont aller chercher l'amie de mon fils ainsi que

 ses freres et soeurs dans leur classe respectives

 et les ont interogés, ainsi que mon fils. Par la

 suite je sus que son beau pére avais abuser de

 chacun des enfants. J'étais heureuse d'avoir fait

 se geste que j'aurais temp voulu qu'on le fase

 pour moi.Les enfants furent placer en foyer le

 temp de l'enquête.La distance ou se trouvais le

 foyer de sa copine fit qu'on revis plus cette jeune

 fille. mais nous l'avions retirer des mains de son

 boureau.

     En decembre 1996 le pére des enfants et moi

 avont decider de se sèparer quelques temp pour

 pouvoir faire le point.Nous nous sommes séparés

 pendant six moi voyant du changement chez le

 pére des enfants je decidas de lui laiser une

 nouvelle chance et l'on repris la vie commune.

 Pendant ses six moi je ne put faire que le constat

 c'étais un échec.  Bien sur les prenieres année

 nous nous aimions.Mais petit à petit la vie et

 devenus monotonne la routine c'est installer. Je

 constate que si aujourd'hui nous avons six

 enfants que c'étais moi seule qui avais prix la

 desision il suffisais que je lui dise je veut un

 autre bébé et on le faisais. Comme si on voulait

 enfants comme une voiture il ne prenais aucune

 désision.

 Il y as vraiment que ma deuxiéne fille que nous

 avons vraiment voulu ensemble.Nous avons vecu

 les neufs moi de grossesse comme les preniers

 moi de notre vie comune mais très vite après sa

 naisance tous ses dégradés et cela devenais

 l'enfert pour moi je ne l'aimais plus j'en arrivait

 mème à le dètester. Je décidat de parler

 ouvertement au enfants et l'un deux me dit

 quand je leur demandas se qu'il pensais de leur

 pére il me dit <<c'est comme si papa étais mort

 >>Cela me fit très mal au coeur car les autres

 dire oui il as raison alor pourquoi resté avec un

 homme que j'aime plus et qui fait souffrir mes

 enfants.

     c'est pour cela que en décembre 1997 nous

 avons décidés de nous séparer et de divorer

    mon constat sur ses années fut dure je me

 rendais compte que je ne vivait que pour lui et

 par lui que je n'étais complétement éffacer et

 que j'avait éffacer toute ma personnalitée.Je

 n'étais plus moi meme si toutefois il existais un

 moi méme .

      J'étais maleureuse.

    Se petit poéme pour vous souhaiter une 

 bonne soirée et une douce nuit

Un papillon fou flotte dans les airs
un air de printemps monte de la terre
immersion totale au diapason
de douces senteurs de pétales

Plaisir virginal de la saison des fleurs
la beauté m’effleure de ses ailes d’or
je m’endors en ce cœur qui me butine
cette âme mutine qui palpite sur mes lèvres

Un chant d’amour s’échappe et vibre
qui fait s’écouler les sables du désert
s’écrouler les tristes châteaux de pierres
se lever d’un bond les graines libres

Un papillon fou vole dans les airs
je m’accroche à ses ailes de miel
pour me poser de cœurs en cœurs
entre la Terre et le ciel.